Remerciements pour les signataires: PETITION NON A LA FERMETURE atelier de tissage St Clément

Bonjour à tous,

Les bénévoles agréablement surpris par le retour important de signatures ( 9 012 ), commentaires ( 118 ) et remercient leurs soutiens pour la sauvegarde de notre patrimoine.

Condensés des journaux "Le Pays 2024 06 20 article du pays et Le Progrès 2024 06 12 article du progres" 

Quelques commentaires:  

"C'est le dernier atelier du Patrimoine Tararien, mais il n'y a jamais eu une réelle volonté politique pour sauvegarder celui-ci.... Tarare. était la capitale mondiale du rideau et faisait vivre de nombreux ménages dans les villages environnants !!! "

Merci pour votre soutien,. Et c'est un musée où les machines sont en fonctionnement, avec des personnes capable de donner des explications sur le tissage..

"J'ai eu occasion de visiter ce musée, lors d'un séjour en France et je peux dire que j'ai appris beaucoup sur les métiers à tisser , c'est très valorisant, j'ai été surpris que dans un petit village on peut faire de si belle démonstration du savoir faire français".

Suite des commentaires: 2024 06 28 meilleurs commentaires

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PETITION à Signer   Merci d'avance pour votre soutien et de divulguer cette information.

Nous, les bénévoles, de nombreux témoignages et d'interrogations, s'opposent à la Fermeture de cet atelier de Tissage, 

de ce fait nous engageons une pétition pour la sauvegarde de notre Patrimoine.

A St Clément sur Valsonne, les bénévoles ne coûtent rien  à la région ,certains musées  reçoivent des millions d'euros depuis des années et en 

2024 on accorde 5 millions d'euros supplémentaires ,et les métiers ne fonctionnent pas, ou est la question ????

À Saint-Clément-sous-Valsonne, les métiers à tisser devraient bientôt disparaître de l'Atelier local 500

L’association Patrimoine clémentois a sauvegardé huit métiers à tisser issus d’une époque où le textile était roi dans la région. Mais le local dans lequel ils sont installés n’est plus aux normes : d’ici à la fin de l’année, les machines seront données ou vendues et les lieux devront être restitués à la mairie.

Les machines appartiennent à Alain Jancenelle, trésorier de l’association du Patrimoine clémentois, qui les a remontées et les a révisées en compagnie des autres bénévoles de la structure associative.

La mise en conformité des installations électriques proposée

Face aux risques évoqués par la municipalité suite aux observations faites par l’Apave, l’association du Patrimoine clémentois s’était dite prête à mettre le local communal en conformité.

De l’extérieur, ce bâtiment de la rue des Grands Ponts ne paye pas de mine. Pourtant, à l’intérieur se trouvent huit métiers à tisser, dont le plus récent date de 1975 et le plus ancien de 1910.

« Nous proposons de prévoir les mises en sécurité des branchements électriques, des grilles de protection, afin d’éviter tous risques d’accident. Nous pensons par cette proposition, satisfaire les contraintes révélées par l’APAVE lors de son passage, et qui sont telles des autres Ateliers (La Bâtie-Mongascon, Soierie vivante, musée de Bourgoin…) ».

MAURICE CHERMETTE (président de l'association du Patrimoine clémentois)

Dans une lettre d’information à la presse, Alain Jancenelle, au nom des bénévoles de la structure associative, annonce que la « maire suite à un contrôle Apave justifié par principe de précaution, a décidé de mettre un terme à l’activité du Patrimoine malgré la proposition […] pour la mise en conformité [avec un] devis établi par un professionnel électricien à 3.800 euros.

« Pas envie de me battre »

Lors de l’ouverture au public, « la mairie était enchantée », se souvient Alain Jancenelle. Celui « qui, enfant, dormait dans les métiers à tisser » est la quatrième génération de sa famille à travailler dans le textile. « Ce que je fais ici, montrer aux gens, c’est pour la tradition », raconte-t-il au Progrès. L’association a en effet proposé, au cours de la dernière...

"Le Progès de mars 2023" Un héritage qui ne tient plus qu’à un fil. Dans quelques mois, la petite dizaine de métiers à tisser d’Alain Jancenelle, mise à la disposition de l’association Patrimoine clémentois, doit quitter le local communal de la rue des Grands-Ponts. La fin d’une aventure qui aura duré dix ans.

Vidéo sur cet atelier